Nous prenons quelques minutes pour le briefing de départ. Le trajet dure environ 45 minutes sur une mer calme. Malgré un ciel chargé, le paysage est magnifique. Une fois arrivé sur zone je mouille l’ancre et nous nous installons à l’arrière pour commencer la pêche. Je commence par décrire l’endroit où nous nous trouvons ainsi que l’espèce recherchée et ses mœurs.
La pêche à papa, avec une canne bricolée et de vrais asticots qui se tortillent, c’est loin. Désormais connectés, les pratiquants importent du Japon des leurres, en forme de poisson mais aussi de grenouilles ou d’écrevisse très bien imitées, et se pâment devant les exploits des stars de la discipline via YouTube ou Instagram.
Toujours dans l’optique de proposer des cannes bon marché, Mitchell a cependant revu sa feuille de route pour cette Riptide R qui affiche un prix plus élevé que ses grandes sœurs, avec en contrepartie des technologies plus sophistiquées. Texte et photos de Philippe Zèques.